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Call of Duty : Black Ops | 360, PS3, PC

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Call of Duty : Black Ops | 360, PS3, PC Empty
MessageSujet: Call of Duty : Black Ops | 360, PS3, PC Call of Duty : Black Ops | 360, PS3, PC Icon_minitimeDim 05 Déc 2010, 22:21

Call of Duty : Black Ops | 360, PS3, PC Call-of-duty-black-ops-pc-00b

De passage à Paris, les développeurs de Treyarch, responsables entre autres de Call of Duty World at War, nous ont présenté le mode solo de leur nouveau bébé à travers trois niveaux. L’occasion de constater que la recette Call of Duty continue d’être appliquée méthodiquement avec toutefois quelques petits changements plutôt intéressants…

A la différence des épisodes précédents, Call of Duty Black Ops n’offre pas deux campagnes mais une seule qui se déroule pendant la guerre froide, des années 50 aux années 70. Le scénario suit ainsi la destinée d’un homme, Mason, membre de l’unité spéciale des Black Ops, qui est amené à guerroyer dans plusieurs pays comme le Vietnam, le Laos et la Russie. D’ailleurs, c’est dans les montagnes du Caucase que se situe la première mission révélée par les développeurs. La séquence d’introduction vous place dans un avion à réaction et vous permet de suivre sur un écran radar le déplacement d’une de vos équipes au sol qui s’apprête à infiltrer une installation soviétique. Quelques instants plus tard, vous voilà téléporté comme par magie dans la peau d’un membre de ce mini-commando de quatre hommes (tout au long du niveau, vous serez donc entouré de trois coéquipiers). A plat ventre dans un champ de neige battu par les violentes rafales d’un vent glacial, le souffle court et les dents qui claquent, vous observez le déplacement des troupes russes non loin de votre position. Premier constat : les graphismes sont superbes et l’ambiance sonore est tout bonnement géniale. De plus, entre vos mains, vous détenez ce qui deviendra probablement l’arme fétiche de nombreux joueurs : une arbalète munie d’une lunette de visée à longue distance et armée de carreaux explosifs. Libre à vous alors d’ajuster les ennemis, à l’instar d’un fusil sniper, et de leur tirer un carreau dans la jambe ou le torse puis, deux secondes plus tard, de les regarder exploser en tuant également autour d’eux, à cause de la déflagration, les soldats les plus proches. Jouissif ! Idem pour pulvériser certains éléments du décor : un carreau explosif dans un réservoir ou des tonneaux remplis d’essence et c’est le grand nettoyage par le vide !

Le 115 sur son bras, ça doit être ses victimes.
http://www.jeuxvideo.com/screenshots/images/00034/00034819_044.htm

Après une descente en rappel le long d’une falaise verglacée (même si visiblement on ne peut pas vraiment tomber, l’impression de vertige reste impressionnante), vous vous propulsez à travers la large vitre du centre de commandes. L’action passe alors au ralenti et vous laisse largement le temps de dégommer les ennemis à l’intérieur d’un coup de mitraillette. Ce ralenti, que vous ne maîtrisez pas, est un des nombreux effets de mise en scène du jeu et s’avère en quelque sorte la marque de fabrique de la série Call of Duty. D’ailleurs, tout au long de la présentation, plusieurs scènes scriptées se déclencheront de la même manière. Comme la prise en otage d’un soldat ennemi derrière lequel on s’abrite pour canarder les autres. Ou la chute à vos pieds d’un corps atrocement mutilé alors que vous évoluez sous une cabane en pleine jungle. Ou enfin la trajectoire d’une balle, montrée en caméra subjective, qui vient frapper un adversaire en pleine tête. Ce parti pris des développeurs fait que l’action ne ralentit jamais et que le joueur, happé par l’agitation ambiante, se dépêche de progresser et d’aller de l’avant. Mais, mine de rien, c’est aussi une manière de masquer une liberté restreinte dans l’exploration des décors présentés qui paraissaient souvent étroits (exception faite du niveau en hélicoptère). Toutefois, cela n’empêche pas Black Ops d’être diablement spectaculaire. Puisque que le jeu semble truffé de séquences d’anthologie, comme cette arrivée au sein de la base soviétique qui se transforme en une terrible fusillade. Il faut alors shooter à tout va, tout en s’abritant régulièrement derrière les quelques éléments du décor. Et si vous êtes à court de munitions, il est conseillé de ramasser rapidement sur le sol les armes laissées par les ennemis décédés. Le spectacle prend d’autant plus d’ampleur que l’écran n’est pas embarrassé d’indications futiles. Seuls les nombres de munitions et de grenades sont indiqués en bas à droite de l’écran. Tandis que les objectifs de missions s’affichent brièvement en haut à gauche et sont mis à jour en temps réel. Enfin, lorsqu’on est blessé, l’écran se tache de sang et devient de plus en plus rouge. Il suffit de se reposer pour que les traces de sang disparaissent (rapidement) et qu’on retrouve alors une vitalité éclatante. Bien entendu, tout cela favorise l’immersion du joueur dans l’aventure et offre même une véritable dimension cinématographique...

Euh... je suis pas vraiment fan de votre variante du cache-cache les gars !
http://www.jeuxvideo.com/screenshots/images/00034/00034819_045.htm

Ainsi, la première séquence montrée par les développeurs se clôt sur l’explosion de la base qui déclenche une monstrueuse avalanche. Le joueur doit alors courir au plus vite pour atteindre le bout de la falaise et sauter en parachute dans le vide. Au fur et à mesure que le personnage dégringole et avant que la scène ne se termine par un fondu au noir, le spectateur a le temps de remarquer la formation de givre sur les lunettes du héros (souci du réalisme dans les détails oblige), sans oublier cette jolie impression de vertige en filigrane tout au long de la mission. Inutile de préciser que sur un grand écran de TV HD, le spectacle est total. A ce titre, le second niveau révélé ne déméritait pas. Car vous vous retrouvez en pleine jungle laotienne en 1968 aux commandes d’un hélicoptère que vous avez dérobé à l’ennemi. Intitulée « Payback » (« Revanche » en français), cette mission n’a visiblement d’autre but que de défouler le joueur un maximum. Car, équipé de mitrailleuse aux munitions illimitées et de dizaines de roquettes particulièrement destructrices, vous n’avez d’autre objectif que de faire tout exploser autour de vous. Résultat : la végétation s’embrase et les arbres se disloquent, alors que les habitations et bateaux ennemis sur la rivière sont réduits en cendres sous l’effet de vos frappes… pas vraiment chirurgicales mais tellement jouissives ! Un véritable déluge de feu où les explosions sont plus belles les unes que les autres. C’est bien simple : on se croirait franchement dans la peau de Stallone aux commandes de son hélico dans Rambo II en train de nettoyer le camp des Nord-Vietnamiens. Cette immersion cinématographique est d’autant plus présente que les roquettes des appareils ennemis passent tout près et sifflent à nos oreilles, tandis que les vitres de l’hélicoptère se fendillent puis explosent littéralement sous les impacts adverses. En plus, une fois n’est pas coutume, il semble que cette phase de jeu soit entièrement libre et que le joueur puisse diriger son hélico n’importe où dans le décor (c’est du moins ce qu’ont affirmé les développeurs).

Hey Bill, t'as pris ta planche de snow ?
http://www.jeuxvideo.com/screenshots/images/00034/00034819_046.htm

Last but not least : la troisième et dernière mission montrée, située chronologiquement une semaine avant la séquence de destruction massive, s’ouvre sur le crash d’un autre hélicoptère. Vous voilà alors prisonnier de l’épave de votre engin alors qu’il s’enfonce dans les eaux mortelles de la rivière Duong, en plein Vietnam. Après avoir éliminé les Viêt-Cong qui tirent à travers les vitres, il faut vite bourriner une touche pour décoincer la porte et s’extirper de la carcasse métallique. Accompagné à nouveau de trois coéquipiers survivants, vous nagez alors en silence sous l’eau (c’est une des nouvelles actions disponibles dans ce volet pour votre personnage) jusqu’à rejoindre un groupement de cabanes ennemies. On notera au passage que les lieux ressemblent fortement au village sur pilotis de l’excellent long-métrage Voyage au Bout de l’Enfer. Ici, le but est de placer du C4 sur les piliers immergés des habitations de manière à faire un joli feu d’artifice. Comme la chose reste relativement aisée, puisqu’aucun adversaire ne vient entraver notre action, vous avez alors tout le temps d’admirer le rendu de cette eau sale et boueuse, donc très réaliste. Une fois l’objectif atteint, vous émergez par une trappe dans une cabane et égorgez en bonne et due forme quelques gardes, grosses giclées de sang à l’appui puisque le jeu reste relativement gore. Pas de doute : la pratique au corps-à-corps du couteau (en appuyant sur le joystick droit) est toujours très efficace. Une fois les derniers explosifs en place, il suffit de s’éloigner pour assister à un joli spectacle pyrotechnique. A partir de ce moment-là, la musique se fait très dynamique et marque le début des véritables hostilités. Car il faut désormais réduire à néant les derniers soldats nord-vietnamiens, mais surtout détruire les grosses tourelles de mitrailleuses qui empêchent les hélicoptères de votre armée d’approcher. La solution la plus adéquate : s’emparer d’un lance-roquettes portable trouvé dans un baraquement et arroser les alentours. Autant se faire plaisir franchement car vous disposez de munitions en quantité largement suffisante. Au cours de cette longue scène mouvementée, hormis les décors qui ne sont destructibles qu’en partie seulement (n’est pas Battlefield : Bad Company 2 qui veut), on a pu apercevoir une IA parfois un peu limite, certains soldats nord-vietnamiens ne semblant pas réagir face à vous. Mais nul doute que cela devrait être corrigé avant la sortie officielle du jeu. Finalement, une fois les tourelles explosées et les ennemis vaporisés, les hélicos de votre patrouille arrivent enfin en rang serré. On croirait presque alors entendre le fameux morceau de musique classique « La Chevauchée des Walkyries », en référence au génial film Apocalypse Now, autre source d’inspiration évidente des développeurs.

J'ai dit : PAS... DE... PHOTOS.
http://www.jeuxvideo.com/screenshots/images/00034/00034819_047.htm

Source : Jeuxvideo.com
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Angie.
Angie.

Nouveau né

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Age : 33

Inscription : 26/06/2011

Call of Duty : Black Ops | 360, PS3, PC Empty
MessageSujet: Re: Call of Duty : Black Ops | 360, PS3, PC Call of Duty : Black Ops | 360, PS3, PC Icon_minitimeDim 26 Juin 2011, 20:18

J'adore !!
Qui joue sur PS3 ?
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Call of Duty : Black Ops | 360, PS3, PC

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