Je me suis mise à écrire, et je voudrais votre avis. Donc si vous avez le temp, et l'envie... lisez le texte.
Six heurs trente, un jours comme un autre allait commencé. Je suis descendue dans la cuisine, ma soeur était assise à table, elle lisait le journal, ce que je trouve plutôt étrange, elle n‘a que dix ans, tout les enfants de dix ans ne lisent pas le journal, mais chaque matin c‘est pareille. Elle était tellement passionnée par ce qu‘elle lisait, qu‘elle m‘a à peine regardé, en m‘adressant un tout petit; salut.
Je me suis habiller, une robe rouge. Je me suis coupé un bout de pain, et je suis directement partie pour l‘école, le chemin que je prend, il faut compter au moin 20 minutes avant d‘arriver. Il y en aurrais un plus rapide, mais comme, les autres prennent le chemain le plus rapide, je l‘ai rien que pour moi, le paysage est beaucoup plus beau, et c‘est silencieux.
Je marchait, quand j‘ai entendue des bruits de pas, je me suis retourée, et là, trois garçons se trouvaient devans moi. L‘un deux c‘est approché de moi, m‘a plaqué contre le sol, les deux autres on commencés à me déshabiler. Je sentais les caillous du sol me coller à la peau, le sol était chaud, et les premier rayons de soleil, qu‘il y avait, m‘éblouissaient.
J‘ai commencé, à me débatre, à crier aussi forts que ce je pouvais, mais ils avaient trop de force pour moi, J'avais l'impression qu'il pesait des tonnes, il m'écrasait, j'avais de la peine à respirer. Quelque minutes plus tard, ils sont reparties, me laissant traîner par terre, à moitier déshabillée.
Je n‘arrivais plus à me lever, mes larmes coulaient sur mes joues. J‘avais mal, je ne me sentait pas bien, c‘était une impréssion bizzard. Je suis rester couchée là bas un moment, je ne sais pas exactement mais ça ma paru être une étérnitée. Je n'avais plus de force, je me sentait faible.Une vois m‘a réveillé, un homme était penché en dessus de moi, il m‘a demandé si j‘allais bien , j‘ai secoué la tête pour lui répondre que oui. Il m‘a levé, je tennait à peine debout, je me suis mise à marrcher en direction de chez moi, mais le monsieur m‘a arrêté,
- l‘école c‘est dans quel direction ?
je ne lui ai pas répondu, j‘ai fais comme si je ne l‘avais pas entendue, je n‘avais aucune envie de parler, et j‘ai continué à marcher. Le dos tourné, j‘ai sentie sans regard peser sur moi, j‘ai continué à marcher, je n‘avais pas de force, je trainais les pieds, j‘avais envie de m‘écrouler par terre. Toute ces images de ces trois garçons défilaient à toute vitesse dans ma tête, c‘était comme un cauchemard, mais je n‘arrivais pas à me réveiller.
Je suis arriver chez moi,ma soeur était encore dans la cuisine,la porte était entrouverte, elle avait fini de lire le journal. Je suis monté sans faire de bruit, arrivée dans ma chambre, je me suis écroulée sur le lit, et j‘ai laissé couler mes larmes.
J‘ai essayé de m‘endormir mais je n‘y arrivais pas, je regardais mes murs, recouverts de souvenirs, de posters, d‘images et de photos de mes copines et moi, il y en avais une de moi quand je n‘avais encore que 6ans j‘était petite, je n‘avais pas de problèmes, enfin, pas de vrai problèmes. Mon plus grand soucies à cette âge là, était de ne pas pouvoir aller au zoo.
J‘ai toujours adoré aller au zoo, j‘admirais les oiseaux qui volait, plusieurs fois j‘ai voulu les imiter, je grimpait aussi haut que je pouvais et j‘essayait de voler, mais à chaque fois je retombais par terre et ma mère acourait pour me relever en essayant de me faire comprendre que seul les oiseux peuvent voler.
De l‘autre côté de la fenêtre il y avait un arbre, il était recouvert de feuilles, on voyait aussi une vieille maison, de la quelle j‘avais toujours peur quand j‘était petite. Je croyait qu‘il y avait une sorcière qui transformait toute les petite fille qui entrait dans cette maison.
Comme ma chambre, le chemin, que jusqu‘à maintenant j‘ai emprinter, était recouvert de souvenir, pas avec des photos accrochées sur les murs, mais avec celles qui sont dans ma tête.
J‘ai entendu la porte ce fermer en bas, c‘était certainement ma soeur, qui allait à l‘école, mais je n‘y ai pas prêté attention. Mes joues, était toutes rouges, recouvertes de larmes. Je n‘avais encore jamais ressentie quelque chose de pareille.
À midi, j‘ai été réveillé pas ma mère, elle venait me dire qu‘on mangeait. Elle n‘avais pas remarqué que je n‘étais pas allée à l‘école ce matin, d‘aileure comment aurait elle pu le remarqué, elle s‘était certainement réveillée il y a quelque minutes. Je lui ai répondu que je n‘avais pas faim, elle ne ma pas plus qustioné, elle m‘a donné un bisous sur la joue et est repartit.
La porte refermé, mes larmes se sont remises à couler, je me sentais sale. Je me suis levé, je basculait un peux, je ne tenais pas bien sur mes pieds, c‘était un peux comme si c‘étais la première fois que je marchait. Je me suis dirigé vers la salle de bain pour prendre un bain, je pensais que je me sentirais mieux après, mais pas du tout, Je me sentais toujours aussi sale. J‘ai sortit de mon armoires des habits pour faire en sorte qu‘on ne voyent plus la moindre partit de ma peau.
Un peux plus tard, ma mère m‘a demandé si je ne devais pas allé à l‘école, j‘ai regardé sur ma montre, il était déjà treize heurs trente-cinque, je devais être à l‘école à treize heurs cinquante. Je n‘avais aucune envie d‘aller à l‘école, mais j‘avais encore moin envie de parler avec ma mère. Je lui ai répondu que j‘allais justement y aller. Je lui ai fais un bisous sur la joue, et je suis partie. Ma mère ma arrêté, et ma demander :
- et ton sac ?
J‘ai pris quelques secondes pour comprendre ce qu‘elle voulait, quand j‘ai compris, je me suis dirigé vers ma chambre. Mon sac traînait par terre. Je l‘ai ramassé, et je suis repartie.
J‘ai ouvert la porte et là, j‘ai paniquer, je n‘avait pas le courage ni l‘envie de sortire, Je me suis avancé sur le seuil, et j‘ai soudain touvé cette citation vraiment idiote. J‘ai déjà franchie ce seuil tellement de fois, pourquoi avais-je peur, de quoi avais-je peur, que ces garçons reviennent ? J‘ai marcher en direction de l‘école, mais je n‘avais aucune envie de voir des gens. J‘ai soudain changé de direction, je me suis dirigé vers une falaise, quand j‘étais plus petite, j‘allais toujours m‘y promener avec mon père, j‘étais très proche de lui, mais un jour, sans que je ne comprenne pourquoi, il a décider de sauter du haut de la falaise, dans le vide. Je l‘avais appris un matin avec un petit mot qui m‘était adressé. Il était écris ; Je m‘envole au paradis, un jour tu t‘envolera me rejoindre, ton tour viendra. En lisans ce message, je me réjouissais à l‘idée qu‘une fois moi aussi je pourrai voler, et c‘est ce jour là que j‘avais compris qu‘il n‘y a pas que les oiseaux qui peuvent voler. Debout devans cette falaise, j‘ai compris, que c‘étais aujourd‘hui. Mon tour était arrivé.