Touchant je trouve...

beau

Ils sont magnifques tes poèmes sisi!

Voila un poéme que je commence mais je ne l'ai pas fini

13.10.08 un ángel además en el cielo
Te Quiero mas que todo mi abuelo
Mi vida no esta la misma
Ahora no puedo te abraza

c'est un début , il est cour je sais mais je vais le continuer .
Dite moi si vous l'aimez bien ou pas du tout , conseil ou meme critique ..

Pour une personne du forum qui se reconnaitra ptdr!!!!


Célia,

Elle danse Célia et les regards se tournent.
L'envoutement fera que nul ne se détourne.
Les braises s'attisent , elle enflamme la piste
Et quand elle éléctrise aucun ne lui résiste.

Elle danse Célia, valorise ses courbes
et flottent dans ses bras quelques superbes fourbes.
L'horizon s'est figé pour admirer sa croupe.
Son jolie déhanché quand elle se chaloupe.

Elle danse Célia, en volutes légères.
qui vibrent sous ses pas, elle est madone fière.
Mais s'éteindra la liesse en échos clandestins.

Elle danse Célia, le coeur ballerine.
Rappelant Colomba, sa beauté cristalline.
Evoque en caresse... déesse est son destin.


Voilà!!!!!

J'aime beaucoup ton poème ♥

Célia oO ?

Oui Célia... à vrai dire c'est pour toi!! mdr!

0.0 Magniiiiifiiiiiquuuueeee

Merci , ça me fait plaisir qu'il te plaise!

je trouve les poemes d'alfred de musset vraiment beaux, surtout la nuit de décembre et celle d'octobre (que je dois apprendre pour mercredi). c'est démodé, d'accord, mais c'est unique.

Bon je sais pas si quelqu'un a déjà fait la remarque mais :

on écrit poésie et pas poèsie
on écrit un poème et pas un poéme

Je sais que je fais mon chiant, mais l'orthographe en poésie c'est important quand même :]

J'ai un poème moi aussi^^il est un peu long par contre...

Par une nuit étoilée,
Une jeune fille a décidée,
De partir seule pour le chercher,
Lui,son être aimé.

Celui-ci était partit,
Loin,avec un pas indécis,
Ne voulant plus la faire souffrir,
Il a choisit de fuir pour pouvoir mourir.

Ses pensées l'emmenèrent à une falaise,
Surplombant le vaste océan empli de braise.
Au moment de faire son dernier pas,
Une voix implorante le rappela.

Celle-ci était celle qu'il aimait,
Venant en courant pour le rattraper,
Elle trébucha mais se reprenait,
Pour rejoindre son bien aimé.

Ils s'enlacèrent en s'embrassant,
Plus rien ne pouvait les arrêter maintenant.
Les deux amants se tinrent la main,
Avec sur leurs joues des larmes sans fin.

Ils se fixèrent une dernière fois,
En ne pensant à rien et à tout à la fois,
Un signe de tête fût le signal,
De leur départ sous l'aurore boréale.

Personne ne vit les deux amants sauter,
Mais tout le monde pouvait maintenant contempler,
Les deux arbres dans la mer s'enlacer,
Signe qu'ils étaient réunis pour l'éternité.